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Manque de concentration chez l’enfant

Manque de concentration, enfant dissipĂ©, difficile Ă  canaliser est un commentaire devenu lĂ©gion sur les bulletins scolaires ou carnets de correspondance des Ă©coliers. En gĂ©nĂ©ral, le corps enseignant est le premier Ă  poser ce constat sans appel de manque de concentration chez l’enfant. Un enfant ayant du mal Ă  se concentrer n’est pas nĂ©cessairement hyperactif. D’ailleurs ce trouble ne nĂ©cessite pas systĂ©matiquement une prise en charge, il ne s’agit pas forcĂ©ment d’une pathologie. Il existe une multitudes de solutions pour venir Ă  bout de ces troubles de la concentration.

LAVILAB spĂ©cialiste français du bien ĂȘtre a dĂ©veloppĂ© une solution naturelle sur mesure adaptĂ©e aux enfants. Il s’agit du complĂ©ment SĂ©rĂ©nitĂ© Ultra. A base de safran, il aide les enfants Ă  se calmer, Ă  se recentrer. Moins agitĂ©s, ils se concentrent ainsi plus facilement. (Agit Ă©galement sur l’humeur, le sommeil)

concentration enfant agitation hyperactivité solution

Les signes d’un manque de concentration

  • L’enfant gesticule beaucoup sur sa chaise, il a du mal Ă  tenir en place.
  • Il a du mal Ă  achever ce qu’il a dĂ©butĂ© et se disperse vite.
  • Facilement dĂ©concentrĂ© n’Ă©coute pas toujours les consignes jusqu’au bout.
  • Le moindre bruit le distrait.
  • Il a besoin de beaucoup de temps pour rĂ©aliser des taches simples.

Le manque de concentration peut se traduire par une baisse angoissante des rĂ©sultats scolaires, une tendance Ă  la rĂȘverie, une agitation. “Il ne faut pas faire d’amalgame entre l’attention de la concentration. La concentration requiert un travail sur une tĂąche. Alors que l’attention peut ĂȘtre involontaire.

ProblĂšme de concentration : une question d’ñge ?

De 3 Ă  6 ans, Ă  l’école maternelle, la capacitĂ© de concentration est imparfaite, elle fluctue selon l’activitĂ©. Ainsi l’enfant sera concentrĂ© 10 minutes en moyenne.

De 6 Ă  10 ans, Ă  l’école primaire, le dĂ©veloppement cĂ©rĂ©bral donne la possibilitĂ© Ă  l’enfant de stabiliser son attention pendant une demie heure pour Ă©couter ou accomplir une tĂąche, rester sur sa chaise sans gesticuler, ni se mettre debout. Pour maintenir la concentration , il faut observer des petites pauses entre chaque sĂ©quence.

Les causes du manque de concentration

  • La gĂ©nĂ©tique, le caractĂšre hĂ©rĂ©ditaire. D’ailleurs les enfants prĂ©sentant des troubles dĂ©ficitaires de l’attention avec hyperactivitĂ© ont souvent un des parents atteint par ce mĂȘme trouble.
  • La dette de sommeil. Un effet qui a peu ou ma dormi ne rĂ©ussira pas Ă  pleinement se concentrer sur ses devoirs ou lorqu’il est en cours. Il manquera cruellement d’énergie et cette fatigue le poussera Ă  adopter un comportement perturbateur : plaintes, larmes, colĂšres

  • Les nouvelles technologies (tĂ©lĂ©phone, ordinateur, tablette, tv) qui dĂ©tournent l’attention.
  • Le dĂ©sintĂ©rĂȘt face Ă  une activitĂ©.
  • Les consignĂ©s inadĂ©quates avec l’ñge ou Ă  la maturitĂ©.
  • Les vicissitudes dans le cercle familial ou amical (harcĂšlement, violence
). L’enfant est stressĂ©, et l’anxiĂ©tĂ© occupe alors tout son espace mental.
  • Une hypersensibilitĂ©.
  • Des dysfonctionnements sensoriels : baisse de l’audition, troubles de la vue.
  • Des troubles “dys” : dysorthographie, dyspraxie…
  • Le stress : un enfant stressĂ© aura du mal Ă  se concentrer. Si il est anxieux, contrariĂ©, triste, ses problĂšmes accapareront ses pensĂ©es et l’empĂȘcheront de mobiliser toutes ses ressources pour rĂ©flĂ©chir.

TDAH ou manque de concentration ?

On aborde le terme de trouble du dĂ©ficit de l’attention TDA(H) quand on observe une concomitance de certains comportements : difficultĂ©s de concentration, hyperactivitĂ© et impulsivitĂ© se dĂ©clarant avant l’Ăąge de 7 ans. A ces symptĂŽmes, peuvent se cumuler une mĂ©moire Ă  court terme dĂ©faillante, des troubles dans l’exĂ©cution des tĂąches. Le TDA(H) est un trouble neurobiologique, un dysfonctionnement cĂ©rĂ©bral qui entraine des problĂšmes de concentration, une impulsivitĂ© cognitive. Ce trouble est le fruit d’une association de divers facteurs inhĂ©rents Ă  la gĂ©nĂ©tique (30 % Ă  40 % des personnes diagnostiquĂ© TDA(H) ont des membres de leur famille touchĂ©s par le mĂȘme trouble).

Ainsi, certains facteurs de risque ont pu ĂȘtre identifiĂ©s, tels que :

  • L’exposition du fƓtus Ă  certaines substances toxiques (alcool, tabac, drogue).
  • Une mĂ©ningite bactĂ©rienne.
  • Un traumatisme crĂąnien.
  • La prĂ©maturitĂ©.
  • Un manque d’oxygĂšne Ă  la naissance.

Si la diagnostic tombe, le traitement doit ĂȘtre prĂ©coce. La prise en charge s’appuiera sur des mĂ©thodes psychologiques, Ă©ducatives et sociales. Si elles s’avĂšrent infructueuses, un traitement mĂ©dicamenteux pourra ĂȘtre envisagĂ© en suivant des rĂšgles de prescription trĂšs strictes.

Troubles de la concentration : quand consulter ?

Faites appel Ă  un mĂ©decin si l’agitation de l’enfant est intempestive et qu’elle devient handicapante dans sa sociabilisation et ses apprentissages. Quand votre enfant a des problĂšmes de concentration qui persistent au delĂ  de 3 Ă  6 mois, et qu’elle est synonyme de souffrance il est important d’en parler au pĂ©diatre.

Soigner les troubles de la concentration : les solutions

  • Lui dĂ©lĂ©guer 1 seule tĂąche Ă  la fois, Ă©viter de le surcharger avec des taches exĂ©cutĂ©es simultanĂ©ment qui pourraient lui faire perdre pied. Avant de lui confier une autre mission, il faut veiller Ă  ce que l’enfant ait terminĂ© la prĂ©cĂ©dente. Bien dĂ©cortiquer les consignes, lui parler de façon posĂ©e.
  • Ne laisser pas l’enfant Ă©voluer dans un groupe turbulent. Veiller Ă  ce qu’il cĂŽtoie des personnalitĂ©s plus calmes et placides pour le tempĂ©rer.
  • Le placer dans un lieu calme pour les devoirs, un endroit sans distractions.
  • Diminuer les sources de stimulation et de distraction dans son environnement : tv, les jeux.
  • Pour aider votre enfant Ă  mieux se concentrer, une des solutions rĂ©side dans le sommeil de qualitĂ©. Quand l’heure du coucher approche, faites lui faire des activitĂ©s calmes : lecture, raconter une histoire, dessiner.
  • Ne pas accabler l’enfant en pointant du doigt ses dĂ©fauts : insufflez lui une Ă©nergie positive en l’encourageant. N’hĂ©sitez pas Ă  lui faire remarquer, Ă  le fĂ©liciter quand il se montre plus concentrĂ© et moins agitĂ©. (lui indiquer qu’il se conduit comme une grande personne par exemple) pour lui redonner une bonne estime de lui.
  • Jouer avec l’enfant. Le partage permet de dĂ©velopper les circuits du langage, de l’écoute et de l’attention. En interagissant avec le parent par le biais du jeu, il travaille sa concentration.
  • Instaurer des routines pour rassurer l’enfant. Les bouleversements de repĂšres peuvent ĂȘtre anxiogĂšnes pour les enfants ayant des difficultĂ© de concentration.
  • Encadrer le temps passĂ© devant les Ă©crans. Eviter de mettre la tĂ©lĂ©vision en marche au retour de l’Ă©cole, ne pas visionner la tĂ©lĂ©vision dans la mĂȘme piĂšce que lui quand il doit faire ses devoirs.

Ne pas minimiser les problÚmes de concentration et leurs conséquences

L’enfant atteint ayant du mal Ă  se concentrer ressent une frayeur permanente du jugement, et du rejet des autres. Il est alors placĂ© dans une position dĂ©fensive et compense ses peurs par un besoin de bouger, de se dĂ©fouler comme pour si il Ă©tait prĂȘt Ă  contre attaquer, Ă  riposter. Son corps en perpĂ©tuel mouvement tĂ©moigne de ses incertitudes Cet aspect bouillonnant de sa personnalitĂ© peut le faire passer pour un Ă©lĂ©ment perturbateur, mis Ă  l’Ă©cart. Les enfants Ă©prouvant des troubles de la concentration sont souvent stigmatisĂ©s par les autres parents : mal Ă©levĂ©s, turbulents, impolis, tĂȘtes en l’air, fauteurs de troubles. Il est donc important de trouver des solutions pour traiter ce problĂšme.

L’anxiĂ©tĂ©, le stress incompatible avec la concentration : solutions relaxantes

En vous emportant et en le rĂ©primandant avec vĂ©hĂ©mence, vous allez accroitre le stress de l’enfant. Restez ferme sans cĂ©der Ă  l’agressivitĂ©. Le calme est aussi contagieux que le stress, et il favorise la concentration. Or les enfants et les adolescents sont plus vulnĂ©rables au stress que les adultes. Le cerveau n’est pas encore arrivĂ© Ă  maturitĂ© et par consĂ©quent il est plus fragile face au stress. Le stress fait effet sur les neurones et rĂ©duit la substance blanche qui connecte les diffĂ©rentes aires de la substance grise et diminue la substance grise (dans laquelle on trouve les corps cellulaires des neurones). Le stress affecte la concentration, il rend les enfants moins vifs et rĂ©actifs car l’amygdale, en interfĂ©rant avec le mĂ©canisme du cortex prĂ©frontal, rĂ©duit l’exploration, ralentit les pensĂ©es. Plus la pression est forte, plus les facultĂ©s cognitives, la capacitĂ© de concentration sont mises Ă  mal.

ComplĂ©ment alimentaire pour rĂ©duire le stress, les angoisses, l’agitation de l’enfant dĂšs 6 ans

Vous cherchez des solutions naturelles, des alternatives aux mĂ©dicaments pour apaiser votre enfant et l’aider Ă  se recentrer ? Lavilab vous propose le complĂ©ment alimentaire SĂ©rĂ©nitĂ© Ultra. Avec ce complĂ©ment, votre chĂšre tĂȘte blonde se sentira moins agitĂ©e, tourmentĂ©e et nerveuse. Cette solution Ă  base de safran stabilisera Ă©galement son humeur tout en amĂ©liorant la qualitĂ© de son sommeil. Un stick par jour lui permettra de retrouver son calme, de se sentir moins colĂ©rique et de mieux maitriser et tempĂ©rer ses Ă©motions. Ce complĂ©ment l’aidera Ă  renouer avec son bien ĂȘtre intĂ©rieur et Ă  se concentrer davantage sans se laisser parasiter par des pensĂ©es nĂ©gatives.

Solution concentration des exercices de relaxation

Testez la solution du recentrage avec la mĂ©thode de « l’axe de symĂ©trie » permettant Ă  l’enfant de se recentrer. Demandez Ă  votre enfant de fermer les yeux et visualiser un trait qui diviserait son corps en 2 parties identiques. Cette ligne prendrait son point de dĂ©part au sommet du crane, et glisserait sur son nez, le long du cou, au nombril jusqu’aux pieds. Une fois cette ligne imaginaire tracĂ©e, il faut faire le chemin inverse : des pieds jusqu’Ă  la tĂȘte.

La solution de la méditation pour améliorer la concentration

La mĂ©ditation amĂ©liore les facultĂ©s de concentration. Instaurez cette solution de façon ludique avec le « jeu du silence » pour initier l’enfant Ă  la pleine conscience. Demandez lui de rester silencieux et de prĂȘter une oreille attentive Ă  son environnement. Quand le temps est Ă©coulĂ©, posez lui des questions sur ce qu’il a entendu et ressenti. Une autre solution pour l’aider Ă  se concentrer avec un exercice de mĂ©ditation est la mĂ©thode du balayage corporel. L’enfant est encouragĂ© Ă  se focaliser sur les diffĂ©rentes parties de son corps. Vous pouvez lui demander de se coucher, de fermer ses yeux et de se concentrer, en premier lieu sur ses orteils, puis sur ses pieds en remontant sur les autres zones de son corps.

Solution pour aider l’enfant Ă  se concentrer : rĂ©pondre Ă  son besoin de bouger

L’enfant facilement dĂ©concentrĂ© a souvent beaucoup d’Ă©nergie Ă  revendre. Il doit la laisser s’exprimer pour rester calme en classe. Si il ne se dĂ©pense pas suffisamment en dehors du cadre scolaire (activitĂ©s pĂ©riscolaires, extrascolaires) ses capacitĂ©s attentionnelles risquent d’ĂȘtre amoindries. L’exercice est bon pour le cerveau en contribuant Ă  la rĂ©gĂ©nĂ©ration des cellules cĂ©rĂ©brales. Permettre Ă  l’enfant de faire un peu d’activitĂ© en dĂ©but de journĂ©e prĂ©pare au stress de la journĂ©e pour amĂ©liorer la concentration. L’afflux sanguin est boostĂ©, favorisant ainsi l’oxygĂ©nation des neurones. PrĂ©voyez des mini activitĂ©s oĂč l’enfant sera en mesure de se dĂ©fouler avant les pĂ©riodes oĂč il devra se concentrer (matin avant l’école, lors des rĂ©crĂ©ations, avant les devoirs). D’ailleurs quand il rentre de l’Ă©cole, inversez l’ordre des choses, laissez le vaquer Ă  ses occupations et ne le laissez pas directement enchainer sur ses devoirs sans cet intermĂšde. Donnez Ă  l’enfant quelque chose Ă  triturer pour l’aider Ă  calmer son stress : balle antistress, crayons. Initialement ces objets anti stress qui font fureur Ă©taient destinĂ©es aux enfants hyperactives/TDAH. En effet, ces objets permettent de focaliser l’attention et de mieux maitriser ses Ă©motions.

RĂ©duire les sources de stimulation : solution pour booster la concentration

Le stress est une des causes qui pĂšse le plus sur les capacitĂ©s d’attention et de concentration de l’enfant. Nos chĂšres tĂȘtes blondes sont rĂ©guliĂšrement sur-stimulĂ©s et leur « disque dur Â» est saturĂ©. Voici quelques conseils et solution Ă  appliquer :

  • Limiter le bruit et attĂ©nuer l’éclairage (lumiĂšre tamisĂ©e, ambiance feutrĂ©e).
  • Faire retomber la pression qu’on exerce sur l’enfant afin qu’il ait une conduite irrĂ©prochable : Ă©viter surtout la comparaison avec les autres (par ex : Maxence est sage comme une image, il Ă©coute ce qu’on lui dit). Inutile de faire culpabiliser l’enfant, vous risquez d’attiser sa colĂšre.
  • Ne brusquez pas votre progĂ©niture quand vous lui donner une consigne, laisser le temps Ă  l’enfant de l’intĂ©grer avant de la rĂ©pĂ©ter.

Mon enfant a du mal Ă  se concentrer, la solution : soigner le sommeil

Un manque de sommeil peut aggraver des troubles de la concentration. L’enfant a alors du mal Ă  rĂ©soudre des problĂšmes, Ă  structurer sa pensĂ©e. Dans une Ă©tude, on a demandĂ© Ă  des enfants de 10 ans de dormir 1 heure de plus que d’habitude sur une pĂ©riode de 1 semaine. A la suite de cette expĂ©rience, on a constatĂ© une baisse de 65% des fautes d’inattention Ă  l’école. En effet, une bonne nuit de sommeil est primordiale pour le dĂ©veloppement cĂ©rĂ©bral de l’enfant. Il consolide les informations retenues au cours de l’éveil et favorise l’apprentissage, la concentration. Voici quelques solutions :

  • Coucher l’enfant 45 mins plus tĂŽt. Ne badinez pas avec les heures de coucher et ne laissez pas votre enfant tarder.
  • Ne pas ĂȘtre trop permissif sur les heures de coucher le week-end et Ă©viter les grands Ă©carts avec le reste de la semaine.
  • Faire faire des siestes Ă  l’enfant les week-ends
  • Il est recommandĂ© d’éviter les aliments excitants en soirĂ©e, comme tout ce qui contient de la cafĂ©ine, incluant le chocolat, le thĂ© et certaines boissons Ă©nergisantes. De plus, il est prĂ©fĂ©rable d’attendre 1 h ou 2 h aprĂšs le repas avant d’aller dormir, car la digestion peut perturber le sommeil. 

Votre enfant a du mal Ă  se concentrer : la solution de l’alimentation

L’alimentation est notre carburant et celui de notre cerveau. De l’essence de piĂštre qualitĂ© peut donc « encrasser Â» le moteur et nuire Ă  son mĂ©canisme. Voici quelques solutions pour aider l’enfant se concentrer :

Oméga 3 : un complément bénéfique pour les petits comme les grands

Inclure des omĂ©gas 3 dans l’alimentation (poissons, noix, graines de lin, supplĂ©ments). En effet, les acides gras essentiels, les Omega-3, interviennent dans la production de la dopamine, hormone qui joue sur l’attention. Des chercheurs ont Ă©galement dĂ©couvert que cette hormone Ă©tait faible chez les enfants souffrants de TDAH. Des Ă©tudes ont dĂ©montrĂ© qu’une carence en Omega-3 Ă©tait corrĂ©lĂ©e Ă  des difficultĂ©s d’apprentissage. Ces bons acides gras soutiennent le dĂ©veloppement cĂ©rĂ©bral des enfants afin d’amĂ©liorer la mĂ©morisation, la rĂ©activitĂ©, les capacitĂ©s cognitives, les performances intellectuelles. Vous pouvez donc supplĂ©menter votre fils, votre fille avec le complĂ©ment OmĂ©ga 3 Ultra de Lavilab. Ce complĂ©ment constitue une solution naturelle pour apporter une souplesse neuronale et fluidifier les messages chimiques cĂ©rĂ©braux. L’atout majeur de ce complĂ©ment alimentaire ? Sa formule vĂ©gĂ©tale Ă  base de microalgues qui se dĂ©marque de la plupart des complĂ©ments Ă  base d’huile de poisson.

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Autres habitudes alimentaires

  • Mettre le hola sur la quantitĂ© d’aliments transformĂ©s.
  • Moins d’aliments sucrĂ©s, de gras, de colorants et de conservateurs.
  • Un petit dĂ©jeuner riche en protĂ©ines et en fibres.
  • Une carence en fer est Ă©galement frĂ©quemment observĂ©e chez les enfants hyperactifs ou inattentifs. Or, le fer joue une fonction importante dans la rĂ©gulation de la dopamine. Un taux de fer de faible dans le sang diminue la capacitĂ© mentale, dont la concentration.
  • Les colorants artificiels et conservateurs dont sont parfois truffĂ©s les bonbons et autres aliments industrialisĂ©s peuvent troubler la concentration de l’enfant. Donna McCann et ses collĂšgues de l’universitĂ© de Southampton ont recrutĂ© 153 enfants. On leur a fait boire soit un placebo, soit un breuvage composĂ© de colorants et d’un additif alimentaire employĂ© comme conservateur. A la fin, leur façon de se comporter a Ă©tĂ© analysĂ©e par les parents et les professeurs. RĂ©sultat : les enfants qui avaient consommĂ© la boisson “transformĂ©e’ Ă©taient ainsi plus agitĂ©s et moins concentrĂ©s que les autres.
  • Une Ă©tude a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e sur 1 mois pour Ă©valuer la consĂ©quence de l’alimentation sur le sucre dans le sange (charge glycĂ©mique) et sur leur performance. Tous les jours, les enfants ont pris des petits-dĂ©jeuners diffĂ©rents tous les jours fournissant la mĂȘme Ă©nergie mais avec des charges glycĂ©miques qui variaient. Le comportement en classe a ensuite Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©. Les chercheurs ont conclu que les enfants ayant consommĂ© un petit dĂ©jeuner avec un apport en sucre faible se concentraient plus longtemps et Ă©taient moins dissipĂ©s.

Solution pour booster la concentration de l’enfant : rĂ©duire le temps devant les Ă©crans

Diverses Ă©tudes ont Ă©pinglĂ© les mĂ©faits de l’exposition abusive aux Ă©crans sur la concentration et sur le sommeil des enfants. Voici quelques solution pour aider votre fils ou votre fille Ă  rester focus :

Diminuer le temps passĂ© devant les Ă©crans Ă  2 heures par jour au maximum. Ne pas laisser les enfants devant la tĂ©lĂ© le matin pour regarder les dessins animĂ©s. En effet, es Ă©crans stimulent certaines hormones nĂ©fastes Ă  la concentration (adrĂ©naline, cortisol, dopamine).Pour un meilleur sommeil, bannir tous les Ă©crans, portables, smartphones et consoles de jeux vidĂ©o de la chambre Ă  coucher de votre enfant. Afin de favoriser l’endormissement, il est conseillĂ© d’éteindre les Ă©crans 1h30 avant d’aller dormir. En effet, la lumiĂšre bleue Ă©mise par les Ă©crans contribue Ă  bloquer la production de mĂ©latonine et favorise ainsi l’Ă©veil. Les activitĂ©s sur Ă©crans maintiennent le cerveau dans un Ă©tat d’excitation intellectuelle peu propice Ă  l’endormissement.

Une Ă©tude met en avant la nocivitĂ© peut troubler le dĂ©veloppement cognitif des enfants. Des chercheurs de l’Institut CHEO ont pilotĂ© une Ă©tude sur des jeunes. Ceux passant plus de 2h par jour devant les Ă©crans avaient de bonnes capacitĂ©s cognitives que les autres. Les Ă©crans jouent sur l’attention captĂ©e, ils sollicitent les rĂ©flexes visuels et auditifs des enfants par l’enchainement rapide d’images et de sons. Ce visionnage Ă©puise le cerveau, surtout celui de l’enfant et altĂšre l’attention soutenue. L’attention soutenue est pourtant vitale pour la concentration lors de la lecture, de problĂšmes Ă  rĂ©soudre, de l’écoute active.

AmĂ©liorer la concentration de l’enfant avec la solution des jeux

Les jeux de sociĂ©tĂ© constituent une formidable solution pour booster la concentration des enfants de façon ludique. Proposez des jeux qui rĂ©clament de la concentration : casse-tĂȘtes, jeux de mĂ©moire, de stratĂ©gie. Il est impĂ©ratif que l’enfant prenne du plaisir et de sĂ©lectionner des jeux adaptĂ©s Ă  ses capacitĂ©s afin qu’il puisse aller au bout de la partie. Choisissez des jeux oĂč l’enfant doit se concentrer sur plusieurs choses simultanĂ©ment. Par exemple : sauter sur le rythme de la musique en respectant des consignes visuelles et cesser de bouger quand la musique s’arrĂȘte.

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