Sommeil enfant : solution, traitement, complément pour l’aider à dormir
Votre enfant est fatigué, ses nuits sont agitées ? Il est compliqué de déployer des solutions, d’administrer un médicament, un traitement pour aider un enfant à s’endormir plus rapidement à ne pas se réveiller au cours de la nuit. Les enfants ont des besoins en sommeil nettement supérieurs à ceux des adultes. En cette période charnière de leur développement bien dormir est primordial pour les aider à se concentrer, pour leur développement cognitif et les aider à réguler leurs émotions.
Médicament, traitement pour un enfant qui dort mal ?
Pour le sommeil des enfants, un médicament à base de mélatonine (Slenyto®) existe. Cependant, ce médicament n’est prescrit que pour la prise en charge de l’insomnie chez les enfants de 2 à 18 ans qui souffrent également d’un trouble du spectre de l’autisme. Dans ce cas de figure, ce médicament est à prendre en dernier recours. Ce médicament n’est pas admis dans les autres cas de troubles du sommeil. Le traitement est effet responsable d’effets secondaires (sauts d’humeur, déprime, baisse d’énergie somnolence, rougeurs, etc.). La mélatonine en vente libre qui connait un succès grandissant sous forme de compléments alimentaires reste fortement déconseillée chez l’enfant et l’adolescent. Si l’envie vous prenait d’en administrer à votre enfant, parlez en à votre médecin traitant. Les médicaments disponibles en vente libre sont destinés aux adultes et sont déconseillés aux enfants.
Complément alimentaire pour le sommeil des enfants
Les parents se tournent de plus en plus vers les compléments alimentaires pour traiter les troubles du sommeil de leurs enfants. Les sirops ont le vent en poupe, tout comme les gummies. Mais avez-vous entendu parler des sticks de poudre conçus pour les enfants ? Ils offrent de bons résultats sur le stress et le sommeil des plus jeunes. Nous vous recommandons Sérénité Ultra de Lavilab.
Complément à base de Safran pour un meilleur sommeil des enfants
Certaines études suggèrent que le safran possède la faculté de stimuler la production de sérotonine, l’hormone synonyme de bien-être. Chez les enfants qui ont des difficultés à dormir en raison de troubles de l’humeur ou de l’anxiété, le safran peut contribuer à équilibrer les émotions et à favoriser l’endormissement. Une prise régulière de safran, sous forme de complément soutient la resynchronisation du rythme circadien des enfants, facilitant ainsi un endormissement plus rapide et des nuits plus calmes. Vous pourrez en trouver dans le complément Sérénité Ultra de Lavilab. Ce complément a été conçu essentiellement pour un public jeune : enfants dès 6 ans et adolescents. Facile à prendre et nomade, ce complément aide les enfants à canaliser leur énergie, à mieux gérer leurs émotions et agit sur la sphère du sommeil et de l’humeur.
Le Lactium : un actif relaxant pour le sommeil des enfants
Le Lactium concentre son action sur les récepteurs GABA (acide gamma-aminobutyrique), un neurotransmetteur qui favorise la relaxation. Chez les enfants stressés ou anxieux, cela peut potentiellement aider à calmer leur esprit et à faciliter l’endormissement. Le Lactium est le dérivé d’un peptide que l’on trouve dans le lait maternel est qui apaise et calme les bébés. Quand le bébé grandit, son système digestif ne lui permet plus retrouver cet effet apaisant, le Lactium reproduit alors ce mécanisme. Vous pouvez trouver cet actif dans le complément Sérénité Ultra. Il s’agit d’un complément qui s’adresse aux enfants dès l’âge de 6 ans. Cette solution naturelle agit sur leur sommeil, leurs émotions et leur humeur pour prendre soin de leur bien être.
Le Magnésium : un traitement, un complément pour améliorer le sommeil des enfants
Chez les enfants sujets à l’anxiété ou au stress, le magnésium peut aider à calmer les tensions, ce qui facilite l’endormissement et améliore la qualité du sommeil. Il agit comme un régulateur de l’activité du système nerveux, ce qui peut réduire l’agitation ou l’hyperactivité avant le coucher. Le magnésium aide à l’absorption du calcium, essentiel pour des os et des dents solides, ce qui est crucial pendant les années de croissance des enfants. Lavilab propose un complément familial sous forme de grand sachet pour aider votre enfant à se supplémenter sans qu’il ne s’en rende compte. Les enfants peuvent parfois rechigner à prendre des gélules ou des comprimés. Avec Magnésium Ultra, il vous suffit de mélanger la poudre à la framboise à la boisson préférée de votre chère tête blond ou à son yaourt et le tour est joué. Ce complément est adapté aux enfants dès l’âge de 6 ans pour le plus grand plaisir de leurs parents
Que faire quand son enfant dort mal ?
Astuces pour faciliter l’endormissement de votre enfant et pour un sommeil de qualité
Observer un respect scrupuleux du rythme jour/nuit : une solution indispensable
Un emploi du temps réglé au millimètre près est de rigueur pour aider l’enfant à mieux dormir.
- Evitez les écarts, faites en sorte que votre enfant aille se coucher tous les soirs à la même heure, de même pour l’heure du réveil. Essayer d’appliquer cette règle le week-end ou lors des congés scolaires. La grasse matinée est à éviter pour rattraper une petite nuit car il s’ensuivra un décalage du rythme biologique.
- Si l’enfant manifeste l’envie de faire une sieste, veillez à ce que ce repos se déroule en début d’après-midi et qu’elle n’excède pas 1h. Les siestes tardives ont la fâcheuse habitude de retarder le coucher.
- Lors du diner, proposez à votre enfant un repas équilibré et conséquent. Ainsi, l’endormissement sera simplifié et l’enfant ne se réveillera en raison d’un estomac qui crie famine. Cap sur ces aliments pour améliorer le sommeil des plus petits : riches en tryptophane. Le tryptophane est un acide aminé qui favorise la production de sérotonine et de mélatonine. On le trouve dans les bananes, le lait, les œufs et la volaille.
Le rituel du coucher de l’enfant une solution pour vaincre les troubles du sommeil
L’enjeu est de faire en sorte que le coucher ne soit pas considéré par votre enfant comme une punition suprême. Préparez le sommeil de l’enfant en initiant rituel de coucher :
- avant que l’enfant aille au lit, initiez le à des activités reposantes (lecture, dessin, pate à modeler). Proscrivez les activités synonyme de dépense physique et de gesticulations.
- Le soir, mettez en place une atmosphère propice au sommeil, en baissant le volume sonore et avec un lumière plus tamisée à la maison. Pensez également à progressivement à parler moins fort en finissant par chuchoter.
- Identifiez les symptômes de fatigue chez votre enfant. S’il bâille, se passe la main sur les yeux ou sanglote, c’est qu’il a surement besoin de dormir.
- Tentez d’adoucir le détachement du coucher par un petit rituel (compte, chanson, câlin) à réaliser quand l’enfant est allongé dans son lit afin de rendre la séparation moins violente.
- Attention ne laissez pas votre enfant avachi devant les écrans de tv ou de mobile le soir. Les jeux vidéo sur écran sont prohibés avant le coucher car ils exacerbent l’agitation, le nervosité et l’éveil. L’usage des écrans est fortement déconseillée aux enfants après 17h.
- L’installation d’une veilleuse dans la chambre peut être une bonne idée pour rassurer l’enfant. Attention, pas de veilleuse lumière LED pour les nourrissons. Elles peuvent chambouler les cycles de sommeil ;
Il est important de familiariser son enfant à une certaine autonomie en matière de sommeil. Ne restez pas à ses cotés en attendant qu’il s’endorme pour le quitter. Un enfant qui réussit à s’endormir pourra se rendormir sans intervention après un réveil nocturne.
La nuit, venir le moins possible : une solution nécessaire
Votre enfant doit apprendre à être autonome :
- La nuit, si vous remarquez que votre enfant ne dort plus, patientez plusieurs minutes avant de vous lever, il devrait se rendormir sans aide. Si vous entrez dans sa chambre, n’allumez surtout pas la lumière, évitez de parler et restez calme afin de favoriser son endormissement.
- En cas de réveil nocturne, évitez systématiquement de lui donner à boire ou à manger; sinon votre enfant ne sera plus capable de s’endormir sans manger.
Le sommeil de votre enfant vous préoccupe : consulter un médecin pour un traitement
- Votre semble avoir des problèmes respiratoires, marque des pauses respiratoires la nuit, semble avoir des difficultés à s’alimenter, subit des régurgitations, des infections ORL (otites, rhinopharyngites, angines),
- Ses troubles du sommeil s’intensifient sans que le stress semble être la raison principale.
Dans tous ces cas, si vous en éprouvez le besoin, pensez à demander conseil à votre médecin.
Avant le rdv, vous pouvez tout consigner dans un agenda du sommeil sur 2 semaines, en notant les heures d’endormissement et de réveil, les épisodes de réveils nocturnes. Ce calepin vous aidera à mieux communiquer au professionnel de santé les périodes de sommeil, d’éveil et de pleurs pour faciliter le diagnostic.
La chronothérapie et la luminothérapie chez les enfants
Chez les enfants à partir de 10 ans, 2 méthodes sont parfois évoquées pour resynchroniser en douceur les horaires de coucher et de lever pour éviter les retards de phase. La luminothérapie peut être proposée, elle consiste à exposer l’enfant à une lumière blanche intense émise par un dispositif spéciale. Cette dernière reproduit la lumière du jour. Une exposition matinale peut s’avérer efficace dans la prise en charge du syndrome d’e retard d’endormissement trop long sans syndromes d’anxiété. Deuxième méthode : la chronothérapie. Il s’agit d’une technique comportementale à prescrire seule ou combinée à la luminothérapie, comme traitement du syndrome de retard de phase de sommeil. Son objectif est de réadapter étape par étape les horaires de coucher et de lever. Une fois obtenu, le rythme défini doit être entretenu.