Peur de ne pas dormir : causes et solutions

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Plus on craint de ne pas fermer l’œil, plus notre corps bascule en état d’alerte. Le cerveau pressent un “péril” (le manque de sommeil), se met à libérer du cortisol (l’hormone du stress), et… retarde alors l’endormissement. C’est la spirale infernale de l’anxiété du sommeil. Rien à voir avec une volonté insuffisante ou une faiblesse mentale. Il d’agit d’une réaction biologique et émotionnelle répandue, notamment quand on est soumis à une période éprouvante, de charge mentale ou de troubles hormonaux. La peur de ne pas dormir revêt la forme d’une anxiété anticipatoire. Elle est souvent présente suite à une succession de nuits agitées, où le sommeil a été laborieux, saccadé ou trop léger.

La peur et le sommeil sont 2 états incompatibles. Le système nerveux végétatif module le stress et le repos. En cas de peur, le système nerveux sympathique se met en branle : notre tension artérielle grimpe, le cœur s’accélère et nos muscles se contractent. Alors que quand on dort, l’inverse se produit : la fréquence cardiaque chute, on respire en profondeur et les muscles se décrispent sous l’influence du système parasympathique.

Solutions contre cette peur de ne pas dormir

Se laisser aller

En journée, notre raison prend le dessus : nous organisons, décryptons, nous préservons et pilotons seuls nos actions. Quand on dort, cette raison disparait, la conscience se retire, comme si on se dissolvait. En situation d’éveil, c’est l’inverse. En désirant ardemment quelque chose, on active la fonction de planification, non désactivable soi-même.

Prendre les devants et agir avec un complément alimentaire

Votre peur de ne pas dormir se traduit par des bouffées de stress, une anxiété qui devient prépondérante. Vous avez besoin de chasser cette préoccupation hors de votre esprit et de relativiser. Rien de mieux que de recourir à un complément alimentaire pour chasser cette inquiétude qui empêche votre cerveau d’être conditionné pour le repos nocturne. Le complément Sommeil Ultra de Lavilab est idéale pour les personnes qui appréhendent le coucher et craignent de peu ou mal dormir. Contenant de la l-théanine, il délivre un effet calmant sur les ondes alpha du cerveau pour vous aider à vous détendre. Son action ne se limite pas à la relaxation, puisqu’il réduit les réveils nocturnes, les agitations au cours de la nuit et vous aide à profiter d’un sommeil moins léger et plus réparateur. Il facilite également la phase d’endormissement grâce à sa mélatonine sous forme liquide.

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Pratiquer des exercices de relaxation pour évacuer la peur

Inspirez 5 sec → Expirez 5 sec pendant 5 minutes (≈ 30 cycles). Vous pouvez visualiser un vague qui monte et descend, ou utiliser une appli/lampe respiratoire. Cette respiration est idéale pour calmer l’esprit et détendre le corps. Vous pouvez aussi inspirer par le nez pendant 4 secondes puis retenir votre respiration pendant 7 secondes avant d’expirer par la bouche pendant 8 secondes. À répéter 5 fois (puis revenir à une respiration naturelle). Cet exercice ralentit le rythme cardiaque, fait baisser le cortisol (hormone du stress) et focalise votre attention sur un rythme interne, et non pas sur la montre.

Ancrage corporel pour chasser les craintes

Pratiquez une respiration lente et régulière pour calmer votre système nerveux. Placez votre attention sur les sensations physiques (la lourdeur de votre corps, la température, les points de contact avec votre corps et le matelas) permet de sortir du schéma mental de la peur.

Relativiser : les nuits imparfaites peuvent rimer avec regain d’énergie

Une mauvaise nuit ne rime pas forcément avec un journée affreuse, épuisante. Le corps est résilient : il récupérera. Quand on dort peu ou pas, notre corps réagit comme s’il faisait face à un péril ou un stress important. Ainsi, le cerveau active le système nerveux sympathique, il libère des hormones de stress (adrénaline, cortisol). On ressent alors un “boost” artificiel d’énergie, de vigilance, parfois même d’euphorie. C’est une forme d’auto-survie biologique : notre corps nous oblige à tenir bon, même sans repos. Ce phénomène fait qu’il arrive souvent après une nuit blanche de se sentir étonnement en forme. Donc ne craignez pas de vous trainer toute la journée.

Se reposer même sans dormir

On peut se reposer en état d’éveil. Rester étendu, en essayant de se détendre n’est pas aussi bénéfique que de dormir, mais c’est mieux que de se torturer l’esprit. Le stress pompe toute notre énergie. Vous pouvez également mettre ce temps d’éveil à profit pour faire des activités que vous n’avez pas le temps d’effectuer à un autre moment : méditer, faire du yoga, dessiner …

Changer de posture mentale

Remplacez les phrases qui tournent en boucle dans votre tête comme “il faut que je dorme” par “je me repose, même si je ne dors pas”. Le simple fait de s’allonger au calme, dans l’obscurité, permet au corps de récupérer même sans sommeil profond.

Créer un rituel rassurant pour éviter les appréhensions

Faites couler un bain moussant bien chaud, préparez vous une infusion relaxante à base de plantes, adonnez vous à une petite séance de lecture douce avec une lumière tamisée. Le cerveau a besoin de repères pour comprendre que la nuit est un moment de calme, pas de lutte.

Éviter la pression de la performance

Ne regardez pas l’heure en pleine nuit, ne laissez pas votre téléphone à portée de main. Au delà du simple fait de jeter un coup d’œil à l’heure, la tentation de scroller et de surfer sur internet est grande. Ce visionnage sur écran peut vous surstimuler, vous perdrez ainsi la notion du temps qui passe et la lumière bleue accentuera l’éveil en inhibant la libération de la mélatonine (l’hormone du sommeil)

Accepter la situation

Il est impératif de ne pas se laisser gagner par la panique si l’on dort mal plusieurs jours. A force de voir cette peur et ce stress grandir, on pourrait sombrer dans un cercle vicieux. En cas d’exposition à un stress exceptionnel, il est logique de mal dormir. Accepter la situation et dédramatiser en se disant qu’on finira tôt ou tard par bien dormir au ours de la semaine est un premier pas

Origines de la peur de ne pas dormir

Expériences passées traumatisantes

Après une ou plusieurs nuits chaotiques (insomnies, réveils nocturnes, bébé qui pleure, anxiété…), on finit par adopter une mémoire corporelle et émotionnelle néfaste du coucher. Le cerveau associe le moment du coucher à une source de stress, à affronter de longues heures passées à se retourner dans son lit.

Hypervigilance liée à l’épuisement

Quand on souffre de fatigue et que l’on se traine la journée, chaque minute de sommeil semble inestimable. Le stress de “rater le train du sommeil” devient immense. On essaye alors de “forcer” le sommeil, ce qui est antinomique. Résultat : plus on veut dormir, plus on reste éveillé.

Contrôle excessif du sommeil

Certains dormeurs sont obnubilés par les horaires (“je dois dormir impérativement avant 23h”, “il faut que je dorme au moins 8h minimum”) ou se mettent à surveiller leur sommeil via des applications ou des montres connectées. Cela crée une pression mentale qui bloque le lâcher-prise indispensable à l’endormissement.

Anticipation de la journée suivante

La peur de ne pas dormir est liée de près à l’angoisse de ne pas être au top de sa forme le lendemain : ne pas réussir à gérer les enfants, le travail, les responsabilités, ses émotions, des taches qui nécessitent vigueur, vigilance et vivacité intellectuelle. Le cerveau bascule alors en mode “urgence” au lieu de se détendre.